6 nov 2006

Allez, une belle image, pas en rapport avec ce qui suit mais qui me fait penser aux bons moments que je sais, j'aurai. C'est une sirène, presque une ondine, presque une moi !!!

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Rentrée, c'était trop chiant heureusement ke j'ai eu qu'un seul cours. Demain j'ai encore qu'un seul cours ki va être chiant aussi mais au moins j'retrouve des gens :-) !

Inspiration dans le métro : alors lui c'est ma muse lol. J'arrive à écrire plein de trucs en pensant à ce garçon c'est fou. J'ai écrit des tas de trucs là, en qques jours, je les met pas tous mais celui là je l'aime bien. Je vais tenter pour le prochain d'écrire un poème d'amour, un truc bien gai, paske ce que j'écris là c'est aussi des poèmes d'amour mais pas super gai je l'avoue. :-S Bon il a pas de titre mon poème et il est un peu long ms c pas grave hein ! :

Sur un paquet de cigarettes
j'ai vu écrit "fumer tue"
Je ne me suis pas pris la tête
et j'ai pas cracher dessus.
Je me suis même dit
que c'était un signe de la vie
ou peut être un signe de la mort,
j'en ai donc allumée une sans remords.
Certains me diront que j'ai tort,
que c'est pas la solution.
Mais quand on souffre on se moque de la raison.
Ironie du sort, c'est toi qui avait peur de souffrir
Et c'est moi qui ai pris.
Heureusement, il faut le dire,
que la vie m'avait déjà appris
la douleur d'une histoire qui finit.
Je n'ai plus peur de mon amour.
Je te le dis sans regrets
"Je t'aime un jour, je t'aime toujours",
s'il le faut je le répèterai.
Pour l'instant, je broie du noir.
Je suis entre espoir et desespoir (ça dépend des soirs).
C'est abusé tout ce qui me fait penser à toi,
c'est tout et n'importe quoi,
d'un match de foot à une photo de toi.
Je me raccroches à tes paroles,
Celles qui m'avaient limite fait décoller du sol.
Quand tu m'disais que tu m'avais trouvée,
que t'étais attaché
et que tu jamais tu ne me quitterai.
Souviens toi, t'étais même persuadé
que ce serait moi qui partirai.
Tu voulais aussi que je t'avoue mes sentiments.
C'est maintenant que je les dis même si c'est ptet plus le bon moment
C'est maintenant que je les ressens.
Et qu'importe si ces sentiments me brulent.
Devant eux pas question que je recule,
je les laisse s'enflammer quitte à ce k'ils me consument.
Ces derniers temps, je suis devenue superstitieuse
même si je sais que c'est pas un vêtement, une chanson ou quoique ce soit
qui vont changer cette situation + que douteuse
où je ne vis que pour toi
alors que tu ne m'entends pas.
Y'a des fois, tu vois, où on s'accroche à n'importe quoi.
Toi et moi on aurait pu voler haut dans le ciel
et tu sais quoi, tu ne m'as pas briser les ailes,
Elles sont flétries mais ce ne sera pas éternel.
Dans la vie, j'en suis réduite à juste continuer,
Et si mon coeur est fêlé,
mon amour, lui, reste intact,
pour le détruire il faudrait y aller à coups de batte.
Malgré tout, avec toi je sais que je ne me suis pas trompée.
Là je crois que je vais arrêter
Ecrire tout ça m'a apaisée.
Au moins j'ai découvert, un peu par hasard
que les mots ont un grand pouvoir :
celui de soulager une âme triste,
de chasser les pensées morbides
et de combler un vide.
Y'a pas si longtemps j'aurais été incapable de te dire ça
Aujourd'hui je te les dirais des milliers de fois :
"Je t'aime, Tu me manques, Je pense à toi".
Et quoi de + sincère que ces quelques mots d'amour
venant d'une fille qui ne s'attend à rien en retour.